Once Upon a Time...

Introduction...

J’ai toujours un peu tendance à raconter ma vie, et je n’ai ainsi pas pu me priver d’une petite introduction lorsque j’ai fait ce préparer ce premier Recueil. Premier recueil sur les contes (pour le moment) auquel s’ajouteront sans nulle doute d’autres inspirés de mythe et de légendes… J'ai bien entendue choisie les contes originaux, avec leur "vrai fin". Pour les droits d'auteur Le Petit Chaperon Rouge est une oeuvre de Charles PERRAULT, et LA Petite Sirène d'Hans Christian ANDERSEN.
Deux poèmes pour l’instant, sous la forme de sonnet en octosyllabe. Il aurait sans doute mieux valut des alexandrin, non seulement pour s’approcher plus de la forme traditionnelle, mais également pour que tout deux n’aient pas l’air aussi courts… le début commence sans doute trop lentement, et je n’ai pas le temps de bien développer la fin. Cela explique sans doute pourquoi le dernier tercet semble toujours un peu bâclés.
Des autres irrégularités peuvent être soulignées : « nues » dans le premier poème, dont l’image m’apparaissait au moment u crépuscule, où tout est rouge, orangé, voir doré. Pas exactement la couleur incarnate dont on parle, mais j’avoue que j’ai eu un problème de rime sur le coup… Si quelqu’un a une idée, je suis volontiers preneuse !
La seconde plus grosse faute est pour moi la répétition de « Prince » dans le second poème, à moins de deux vers d’intervalle.

Enfin voilà, n’hésitez surtout pas à me donner votre avis afin que je progresse de mon mieux !

Le petit chaperon Rouge

C’est une histoire de tous connue,
Celle d’une fillette, d’une ingénue,
D’un chaperon toujours vêtue,
Aussi incarnat que les nues.

Cette gentille, et belle enfant,
A la demande de ses parents,
S’en alla dans les bois gaiment,
Rendre visite à sa Mère Grand.

Sans se méfier du danger,
Le Grand Loup elle alla croiser
Et lui parla comme un féal,

Elle fit ainsi dévorer.
Aux inconnus de point parler,
C’est pour nos enfants la morale.

La Petite
Sirène

La belle écume que voilà,
Une triste histoire elle nous contera ;
Celle d’une princesse de l’océan,
Avec un homme pour amant.

Elle ne l’avait qu’entraperçut,
Et pour lui elle a tout perdu.
Offert sa voix à la sorcière,
Pour pouvoir marcher sur la terre.

A chaque pas, comme un poignard,
La douleur, et celle de voir
Son cruel Prince d’une autre s’aimer.

Pour la sauver, ses sœurs lui dirent,
Que son Prince elle devait occire.
Larme. Et vers le ciel s’envoler.

© Saphiral